Dans le cadre du festival Prise de CirQ', ce spectacle de jonglage contemporain, avec technique, poésie et virtuosité, le circadien Martin Palisse raconte sa maladie, de celle qui asphyxie, de son incidence dans le rapport aux autres, dans les choix de vie, les postures… un portrait puissant et intime. Le metteur en scène David Gauchard, tel un sociologue ou un reporter capture la parole de Martin Palisse pour la mettre en scène en parallèle d’un acte de jonglage radical, fatiguant, endurant, lent puissant, un acte extrêmement physique.

Plus d'informations sur : https://cirqonflex.fr/evenements/prise-de-cirq/

Dans le cadre du festival Prise de CirQ', ce spectacle de jonglage contemporain, avec technique, poésie et virtuosité, le circadien Martin Palisse raconte sa maladie, de celle qui asphyxie, de son incidence dans le rapport aux autres, dans les choix de vie, les postures… un portrait puissant et intime. Le metteur en scène David Gauchard, tel un sociologue ou un reporter capture la parole de Martin Palisse pour la mettre en scène en parallèle d’un acte de jonglage radical, fatiguant, endurant, lent puissant, un acte extrêmement physique.

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Dans le cadre du festival Prise de CirQ', c'est une création 2023 et made in BFC qui vous ai proposé.

C'est un spectacle qui fera du bien et dans lequel les portés acrobatiques en collectif auront la part belle. Nous l'imaginons en gymnase pour un pari collectif avec les publics qui seront parties prenantes de ce moment et où il s'agira de réinventer ensemble notre appréhension de la vie au moment où tout chancelle.

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Dans le cadre du festival Prise de CirQ', c'est une création 2023 et made in BFC qui vous ai proposé.

"Comment relier la pratique du tissage aux pensées des éco-féministes ? Comment restituer une expérience du paysage ? C'est la tentative que propose cette création, en associant une scénographie tissée de fils de lin teints à un agrès cinétique unique, déployant un fil de fer sur six côtés. Cinq femmes, quatre acrobates et une musicienne, y évoluent, ensemble, seule ou à deux, cheminant ainsi parmi les fils de leurs pensées. Les corps nous racontent le lien, la sororité, la bienveillance. Tour à tour, les acrobates sont Pénélope, Méduse, Circé, Penthésilée, Calypso : ces femmes qui peuplent les histoires dont seul Ulysse est le héros. Elles se partagent leurs vécues et tissent de leur point de vue leurs propres histoires."

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Dans le cadre du festival Prise de CirQ', c'est une création 2023 et made in BFC qui vous ai proposé.

C'est un spectacle qui fera du bien et dans lequel les portés acrobatiques en collectif auront la part belle. Nous l'imaginons en gymnase pour un pari collectif avec les publics qui seront parties prenantes de ce moment et où il s'agira de réinventer ensemble notre appréhension de la vie au moment où tout chancelle.

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Dans le cadre du festival Prise de CirQ', c'est une création 2023 et made in BFC qui vous ai proposé. 

"Comment relier la pratique du tissage aux pensées des éco-féministes ? Comment restituer une expérience du paysage ? C'est la tentative que propose cette création, en associant une scénographie tissée de fils de lin teints à un agrès cinétique unique, déployant un fil de fer sur six côtés. Cinq femmes, quatre acrobates et une musicienne, y évoluent, ensemble, seule ou à deux, cheminant ainsi parmi les fils de leurs pensées. Les corps nous racontent le lien, la sororité, la bienveillance. Tour à tour, les acrobates sont Pénélope, Méduse, Circé, Penthésilée, Calypso : ces femmes qui peuplent les histoires dont seul Ulysse est le héros. Elles se partagent leurs vécues et tissent de leur point de vue leurs propres histoires."

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Dans le cadre du festival Prise De CirQ', des élèves des écoles de cirque des quatre coins de la Bourgogne-Franche-Comté présenteront leurs nouveaux numéros pour la première fois au Théâtre Mansart, sous l’invitation de l’école de cirque Or piste et du festival.

Équilibre sur objets, acrobatie, aériens … Une diversité de disciplines de cirque sera présentée par ces jeunes, avec beaucoup d’émotion et une énergie débordante !

Avec la participation des écoles de cirque de Dijon, Beaune, Nevers, Saint-Vallier, Meilly-sur-Rouvres, Besançon, Échenans-sous-Mont-Vaudois et Vesoul.

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Après Landscape(s)#1, la Cie La Migration trace son sillon entre le mouvement et la nature, entre le corps et la machine, entre ce qui est écrit et ce qui peut survenir. Les acrobates aériens évoluent sur le Double-fil, étrange machine rotative inventée par la compagnie, et partenaire de jeu à part entière. Interprètes et spectateurs sont rassemblés dans le Vélarium, un espace de toile et de bambou qui réfute l’ancienne frontière du chapiteau pour se poser dans le paysage en y inscrivant ses frontières et ses perspectives. Lieux Dits est une écriture chorégraphique et musicale in situ, une expérience collective.

Après Landscape(s)#1, la Cie La Migration trace son sillon entre le mouvement et la nature, entre le corps et la machine, entre ce qui est écrit et ce qui peut survenir. Les acrobates aériens évoluent sur le Double-fil, étrange machine rotative inventée par la compagnie, et partenaire de jeu à part entière. Interprètes et spectateurs sont rassemblés dans le Vélarium, un espace de toile et de bambou qui réfute l’ancienne frontière du chapiteau pour se poser dans le paysage en y inscrivant ses frontières et ses perspectives. Lieux Dits est une écriture chorégraphique et musicale in situ, une expérience collective.

Après Landscape(s)#1, la Cie La Migration trace son sillon entre le mouvement et la nature, entre le corps et la machine, entre ce qui est écrit et ce qui peut survenir. Les acrobates aériens évoluent sur le Double-fil, étrange machine rotative inventée par la compagnie, et partenaire de jeu à part entière. Interprètes et spectateurs sont rassemblés dans le Vélarium, un espace de toile et de bambou qui réfute l’ancienne frontière du chapiteau pour se poser dans le paysage en y inscrivant ses frontières et ses perspectives. Lieux Dits est une écriture chorégraphique et musicale in situ, une expérience collective.

Appuie-toi sur moi est un conte circassien, une confidence des aléas d’une rencontre improbable, faite au public dans une grande promiscuité. Un cirque à ciel ouvert, une piste octogonale, un mât chinois au centre, voilà le décor de ce récit que les artistes nous font vivre avec leurs corps et leurs voix. L’acrobatie, le mouvement et la théâtralité des corps rentrent en résonance avec le récit oral sans pour autant l’illustrer. Les spectateurs réunis autour de la piste se retrouvent plongés dans l’intimité des protagonistes qui se livrent à cœur ouvert.

Deux acrobates urbains vous invitent à redécouvrir le quartier de Fontaine d’Ouche d'une façon unique, à travers une déambulation acrobatique et théâtrale. La rue est leur scène, avec les façades en toile de fond, les pavés leur piste de danse et le trafic leur paysage sonore. Durant ce voyage, le duo rencontrera avec vous – les followers - des situations quotidiennes pouvant vite se transformer en moments poétiques, drôles ou cocasses. Ward et Thomas, les deux artistes du spectacle se sont rencontrés dans un rassemblement de freerunning à Gand. Depuis, ils créent ensemble des spectacles mêlant leurs passions communes : le cirque acrobatique et les sports urbains, le parkour.

Inertie est une toupie échouée, un volume vide abandonné à sa trajectoire circulaire. Dans ces lancinantes circonvolutions pourtant, apparait une lecture géométrique, l’Épure. Quelque chose d’immatériel se dessine. Nous voulons le saisir mais il est déjà passé. Le couple de circassiens joue du déséquilibre et se suspend aux branches de l’espace-temps.

Humour, poésie, émotion, technique, originalité, virtuosité pour un spectacle qui tourne rond !

Comme l’inspiration laisse sa place à l’expiration, deux hommes agissent et interagissent dans d’étonnantes rotations. Expression du corps, prouesse technique, piano à queue et surprises perpétuelles, les artistes créent un univers sensible où la relation est au centre.
« Respire » est une aventure circulaire, un hymne à la joie de vivre et d’être, en toute simplicité. Au risque de voir s’emballer votre rythme cardiaque, prenez une grande inspiration et venez voir ce spectacle !

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Il n’y a aucune chance que ce que vous lisiez ici vous éclaire sur ce qu’il va se passer sur scène. Mais dans le doute : Yokaï, c’est l’Être d’une chose qui a vécu suffisamment longtemps (genre 100 ans). Il existe d’innombrables Yokaï dans la culture japonaise. C’est comme devenu le nom d’un animal domestique et dangereux, connu de tous. En France ça ne correspond à rien. Mais on pourrait dire qu’un Yokaï est une chaise qui coupe des jambes ; ou un vent qui fait disparaître des gens, ou même un grand corps maigre qui lave des haricots rouges pour l’Éternité. On a des grands corps maigres, des haricots. Ça dure 50 minutes mais ça vaut le coup de regarder quand même.

Le Français Guillaume Martinet (Cie Defracto) s’associe ici à la compagnie japonaise Atama To Kuchi. Accueillie au Théâtre Mansart en 2014 lors de Prise de CirQ’, Defracto avait marqué les esprits avec son spectacle Flaque et son langage corporel drôle et singulier.

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Objet mythique et rare du cirque traditionnel, la roue de la mort est, de par son envergure et son mouvement circulaire, chargée de nombreux symboles. Dans 78 Tours, la Cie La Meute propose d’explorer avec le public, cette dimension totémique. A travers un rite collectif, une transe obsédante et cyclique faite de plumes et de fumée, de polyphonies, d’ambiance de western forain, trois hommes possédés explorent le sens de la vie. Un voyage acrobatique, poétique et hypnotique.

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Petite fille, Mirabon rêvait d’être une princesse. Devenue femme, elle se voit « Reine ».
Reine de quoi ? Son cœur balance entre Calamity Jane, Marie-Antoinette et Miss France.
Tiraillée entre Danton, son poney à bascule, Brad Pitt, le rêve américain, le luxe des balconnets, des grands décolletés et de la guillotine, elle perd parfois un peu la tête.
Elle sera pourtant la reine du monde… pendant 30 minutes, sous les projecteurs.
Elle dévoilera, avec beaucoup de simplicité, les dessous de la femme-clown et toutes « les choses de l’intimité » dont on n’ose pas toujours parler.
Elle fera sa révolution.

Tite Hugon, artiste clown de la Conserverie, sera en immersion dans la ville de Chevigny toute la semaine précédant les représentations pour aller à la rencontre de ses habitants : impromptus décalés et rencontres insolites seront au programme.

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Ces deux acrobates urbains vous invitent à les suivre dans une déambulation acrobatique et théâtrale qui vous fera redécouvrir le quartier de Fontaine d’Ouche d’une façon unique. La rue est leur scène, avec les façades en toile de fond, les pavés leur piste de danse et le trafic leur paysage sonore. Durant ce voyage, le duo rencontrera avec vous – les followers – des situations quotidiennes pouvant vite se transformer en moments poétiques, drôles ou cocasses.

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Dans La Dévorée, Marie Molliens questionne l’image de la femme de cirque, icône inatteignable, à la fois corps désiré et corps humilié. En s’emparant de la mythologie et du personnage de Penthésilée, elle trace en filigrane un portrait de la femme moderne combattante et de ses faiblesses.

Acrobaties, équilibres, chutes, virtuosités s’enchaînent dans des ambiances glamour trash et un univers cru à la Francis Bacon. Du cirque très théâtral et divinement troublant.

Dans Oraison, la fildefériste Marie Molliens recherche ce qui est de l’ordre du viscéral, du spirituel du transcendantal à travers l’essence ancestrale du cirque. Elle nous invite à vivre une expérience unique : celui d’un ravissement possible, comme le rapt de l’âme par la beauté. Sous un petit chapiteau et une piste intime, et avec l’onde nerveuse que provoque le geste circassien, son acte artistique a pour ambition d’être vécu physiquement par le spectateur. Convoquant toute une palette de disciplines (fil de fer, acrobatie aérienne, musique live et même lancer de couteau), la compagnie Rasposo distille la précision du geste pour mieux magnifier l’invisible. 

Déjà venue à Dijon lors de Théâtre en Mai avec ses deux précédentes créations, La Dévorée et Morsure, la compagnie Rasposo, implantée en Saône-et-Loire, est incontournable dans le paysage du cirque contemporain.

Yokaï est un duo de jonglage né de la collaboration entre Guillaume Martinet de la compagnie Defracto et Hisashi Watanabe de la compagnie japonaise Atamatokuchi. Il n’y a aucune chance que ce que vous lisez ici vous éclaire sur ce qu’il va se passer sur scène. Mais dans le doute : Yokai. C’est l’être d’une chose qui a vécu suffisamment longtemps (genre 100 ans). Il existe d’innombrables Yokai dans la culture japonaise. C’est comme devenu le nom d’un animal domestique et dangereux, connu de tous. En France, ça ne correspond à rien. Mais on pourrait dire qu’un Yokai est une chaise qui coupe des jambes, ou un vent qui fait disparaître des gens, ou même un grand corps maigre qui lave des haricots rouges pour l’éternité. On a des grands corps maigres, des haricots. Pour l’instant ça dure 50 minutes, mais ça vaut le coup de regarder quand même. 

Accueilli au Théâtre Mansart en 2014 lors du festival Prise de CirQ’, De Fracto avait marqué les esprits avec son spectacle Flaque et son langage corporel drôle et singulier.

Dans Respire, deux hommes créent un univers circulaire étonnant alliant prouesse technique, piano à queue et expression du corps. Avec des objets sphériques et acrobatiques (boules, roue cyr, balles) ils emportent les spectateurs dans une rotation envoûtante qui défie stabilité et gravité. La respiration est le subtil fil rouge qui relie les artistes au public et leur permet de partager leurs émotions, leurs surprises ou leurs peurs, en toute simplicité, offrant un accompagnement sonore à la hauteur des explorations acrobatique et poétiques du duo. 

Placé sous le signe de la rondeur et de la relation à l’autre, ce spectacle à couper le souffle respire la joie de vivre, l’humour, la poésie, la technique et la virtuosité. Au risque de voir s’emballer votre rythme cardiaque, prenez une grande inspiration et venez voir le spectacle Respire !

Rémi Luchez est un drôle d’oiseau. Le regard perçant, la silhouette plutôt frêle, il met en scène un spectacle d’équilibres. Des équilibres d’objets, des objets en équilibres. Les grands exploits reposent souvent sur de petits rien, et c’est cela qui touche et impressionne. En véritable contrepoint, la chanteuse et musicienne Lola Calvet l’accompagne avec justesse d’un registre musical varié. 

En 2010, Rémi Luchez avait joué Miettes à Dijon lors de Prise de CirQ’. En 10 ans, le comédien-clown-équilibriste formé au Centre National des Arts du Cirque, a continué d’explorer les notions d’équilibre précaire et de façonner son univers singulier emprunt d’un brin de folie. Tout cela sans oublier d’être drôle. C’est donc avec beaucoup d’enthousiasme que nous vous proposons L’Homme Canon en ouverture du festival !

Événement phare de CirQ’ônflex, le festival Prise de CirQ’ se tiendra cette année du 10 avril au 3 mai dans la métropole dijonnaise et en région. Rassemblant chaque année près de 7000 spectateurs, cette 12e édition accueillera 12 compagnies professionnelles qui investiront 10 lieux à l’occasion de 23 représentations.

Avec : Rémi Luchez, Cie Defracto, Cie Circoncentrique, Cie Rasposo, Les Chevaux Célestes, Cie Scratch, Collectif à Sens Unique...

L’édition 2019 du festival Prise de CirQ’ se tiendra du 26 mars au 28 avril dans la métropole dijonnaise et en région. Porté par CirQ’ônflex, ce temps fort rassemble chaque année près de 8000 spectateurs de tous âges, avides de découvertes. Le festival accueillera cette année 12 compagnies professionnelles (lors de 28 représentations), des propositions très diverses à l’image de la création circassienne contemporaine.

Avec : Jérôme Thomas, Le Jardin des délices - Nathan Israël et Luna Rousseau, Étienne Saglio - Cie Monstre(s), Olivier Debelhoir, Joan Català, Cirque Inextremiste, Victoria Belen Martinez, Cie les Chaussons Rouges...