En latin, inops désigne l’impuissance. Clément Dazin questionne ici la capacité à agir face à la vie et la société, à travers les corps des acrobates et leur vécu. Au milieu de quatre milles gobelets plastiques recyclables formant une scénographie mouvante, ils fouillent les failles de leur intimité et celles du groupe, à la recherche d’une forme de résistance, s’exerçant au tissu, à la bascule, à la contorsion ou au jonglage.