Sept ans après avoir joué à la citadelle d’Alep aux côtés d’une dizaine de derviches tourneurs, Bab Assalam réinvente, en compagnie de Sylvain Julien, le mythe des derviches tourneurs avec un concert « tourné » où la transe soufie des derviches tourneurs devient une poésie circassienne. Avec Derviche, Bab Assalam, comme le danseur qui tourne, tente l’aventure d’un « voyage sans départ ». C’est un hommage, une ode à l’amour, inspiré par la philosophie et la musique soufies, une longue transe qui mène à l’extase.