La Mondiale générale cultive le « bancal » avec un certain génie collectif. Oscillant entre adresse et imprudence, ces aventuriers de l’impossible construisent des édifices et traversent le plateau sur des bastins de bois de plus en plus hauts. Un spectaculaire éloge de la lenteur et de l’inefficacité qui révèle aussi toutes les possibilités de l’entraide dans l’échafaudage de ces entreprises absurdes.