Dans la pénombre de la piste, les déséquilibres acrobatiques ou la grâce sauvage du lancer de couteaux résonnent avec quelques notes d’orgue de barbarie, tristes et joyeuses, comme une prière de cirque. Oraison puise dans l'image ancestrale du cirque, ravivant la figure du clown blanc, dans un voyage métaphorique fait d’électrochocs esthétiques, où se côtoient le danger, le risque et le mystique.