Qu’est ce qui se joue devant nos yeux ? Quel regard porte-t-on sur les autres et quelle image renvoie-t-on ? Quelle peur se cache derrière ce langage visuel ? S’observer soi-même tout en observant autrui. Mât chinois, sangles, roue cyr, contorsion et paroles d’habitants, accompagnent deux hommes et quatre femmes. Pensé pour l’espace public, ce jeu circassien met en exergue la figure mythologique à la chevelure de serpents. À la fois observateur et observé, chacun tisse des relations à partir de confrontations fascinantes.
En partenariat avec le festival Ôrizons