Dans La Dévorée, Marie Molliens questionne l’image de la femme de cirque, icône inatteignable, à la fois corps désiré et corps humilié. En s’emparant de la mythologie et du personnage de Penthésilée, elle trace en filigrane un portrait de la femme moderne combattante et de ses faiblesses.
Acrobaties, équilibres, chutes, virtuosités s’enchaînent dans des ambiances glamour trash et un univers cru à la Francis Bacon. Du cirque très théâtral et divinement troublant.