« Messieurs Dames, bienvenue au paradis des oubliés… ». Autour de cette piste circulaire et dans un univers magique et cinématographique, les artistes passent de l’ombre à la lumière, de la fiction au réel, n’oubliant jamais qu’ils sont les metteurs-en-scène de leur propre existence.
Un hommage à la confusion, un cri de joie brisé par la fatigue : armé de beauté et réclamant justice, Low Cost Paradise révèle la poésie du réel. Au milieu de cette époque chaotique, cette troupe choisit de danser jusqu’à la fin.