• A VENIR

HISTORIQUE

• En septembre 2004, en amont des Jeunes Talents Cirque, Territoires de Cirque organisait la première rencontre en direction des professionnels du spectacle vivant menée en collaboration avec l’ONDA dans le cadre de la première RIDA de la Saison au Théâtre de la Cité Internationale à Paris, où, à l’échange d’informations s’est ajouté un temps d’intervention du philosophe Robert Redeker sur la question des publics.
• En novembre 2005 au Prato à Lille, est intervenu David Le Breton, anthropologue, professeur à l’université Marc Bloch à Strasbourg, sur le thème du risque transposé au domaine du cirque, abordée du point de vue de l’artiste mais aussi du public (la fascination pour le risque, le goût du spectaculaire…) et reliée à l’exigence du théâtre du public.
• En novembre 2006 au centre des Arts du Cirque de Basse Normandie à Cherbourg à l’occasion de l’ouverture de La Brèche, nouvel espace dédié à la création circassienne.
• Le 29 octobre 2007 au festival CIRCA à Auch « Quelle place pour quel cirque dans les programmations pluridisciplinaires » Intervenants : Philippe Le Gal, directeur du Carré Magique à Lannion, Pascal Paris, directeur de l’Athanor Scène nationale d’Albi, Jérôme Lecardeur, directeur de la Scène nationale de Dieppe.
• Le 24 septembre 2008 au Parc de la Villette, Territoires de Cirque co-organisait avec l’ONDA une Rencontre Professionnelle Cirque, faisant intervenir Caroline Hodak, docteur en histoire et sciences sociales, sur le thème « Le corps et la performance », ainsi qu’Alexandre Fray et Frédéric Arsenault de la cie Un loup pour l’homme qui complétaient l’intervention par leur parole d’artiste.
• Le 5 mars 2010 à La Seyne-sur-Mer dans le cadre du festival Janvier dans les étoiles, Territoires de Cirque s'associait à nouveau avec l’ONDA pour organiser une Rencontre nationale Cirque, invitant Francine Fourmaux, ethnologue, spécialisée dans les mondes urbains et les spectacles, pour une intervention sur le thème « Les nouveaux lieux du cirque » (le cirque investit depuis quelques décennies des lieux qui à l’origine ne lui étaient pas dédiés et crée lui-même par ailleurs des espaces. En quoi ces nouveaux lieux génèrent-ils des relations et des pratiques nouvelles, voire, de nouveaux publics ?) en complicité avec Majida Ayad et Mathieu Despoisse du Cheptel Aleïkoum, qui ont apporté à la discussion le témoignage de leur expérience d'implantation à Saint-Agil (41) et de leur parcours d'artiste dans le milieu du cirque.
• Le 6 novembre 2010 à la Cité Internationale de Paris, en amont des JTCE : Intervention de Jacques Bonniel, sociologue et professeur à l’université Lyon 2, spécialisé dans les politiques publiques et l’Europe, et de Marc Pareti et Gaëtan Lévêque du collectif AOC, sur le thème « Identités culturelles et politiques culturelles en Europe », orienté sur le concept d’identité et de l’engagement politique de l’art.
• 14 avril 2012 – rencontre nationale cirque dans le cadre du festival Hautes tensions à la Villette : une demi journée consacrée aux projets artistiques français et internationaux
• 30 octobre 2012 au CIRC dans le cadre du festival du cirque actuel : échanges artistiques et speed dating artistique avec Julien Vittecoq, Marie-Anne Michel / cie Carpe Diem, Jean-Baptiste André et Julia Christ. • 10 avril 2014 à la Villette – ½ journée - rencontre cirque dans le cadre du festival Hautes tensions
• 19 mars 2015 à la brèche à Cherbourg dans le cadre de Spring : ½ journée d’échanges artistiques
• 15 et 16 avril 2016 à la Villette en marge du séminaire Fresh Circus : ½ journée d’échanges artistiques et dans le cadre de la Rencontre des jonglages organisé par la Maison des Jonglages à la Courneuve : présentation de projets jonglés.
• 3 et 4 février 2017 à l'occasion de la biennale internationale du cirque de Marseille : Échanges d'informations sur l'actualité circassienne & Table ronde "arts // populaire" - cette rencontre vise à interroger, au regard de notre époque troublée et troublante, la notion d'art "populaire" (dont le cirque est souvent qualifié). Quel est le sens de ce terme ? Peut-il redonner une place au commun et au collectif ?