Deux lettres pour désigner ce spectacle, ou un croquis qui résume tout : O pour désigner le cerceau et I pour le bâton avec lequel il manipule le premier. C’est à partir de cet agrés le plus simple qu’il nous embarque dans un univers aux lumières tamisées et à la musique lancinante. Se servir du clair-obscur et de la solitude du rêveur silencieux pour une mise en scène en toute élégance…Un spectacle à la fois minimaliste et somptueux
Dans le cadre du Festival Trente Trente