Au départ, une dizaine de diapositives trouvées en 2003 sur un terrain vague parisien. Les clichés montrent un étrange numéro de cirque réalisé sur une structure métallique. Origine inconnue, date, lieu, artistes non identifiés.
L’équipe du Cirque Électrique et ses collaborateur ·rice·s repensent la structure métallique visible sur les diapositives pour en faire une création originale. Tel un tableau de Piet Mondrian, un carré évidé aux multiples divisions devient le cœur du dispositif artistique. Ils·elles lui donnent pour nom l’Agrès Mondrian.
Des mouvements d’ascension, abaissement, pivotement, rotation… donnent vie à cette structure qui devient sculpture.