Ici les acrobates explorent les confins de l’acte acrobatique, en s’inspirant des murmurations, telles les chorégraphies des vols d’étourneaux. Le plateau devient cet espace infini qui se vide et se remplit par fulgurances, où l’action se déploie comme une réaction en chaîne. Véritable ode au vivant, Möbius nous renvoie ainsi à cette absolue nécessité du « faire ensemble ».