Alexis Rouvre, jongleur du temps, trouve son inspiration chez l’astrophysicien Carlo Rovelli : « Les corps se meuvent naturellement là où le temps passe plus lentement ». Alchimiste des vanités, il compose à partir d’objets tout simples – tricot, chaînette, pierre – une œuvre d’une poésie dense, ouvrant sur l’envers de l’instant qui passe, ne dure rien, et maintient tout.
Au Grand Logis, Bruz, 15h et 20h